« L’immunité se nourrit d’énergie et de nutriments indispensables »
Pr William Harris – Université Dakota du Sud – Mai 2021
« Le virus est fort quand nous sommes faibles »
Laurence Daoust – Faculté des sciences, de l’agriculture et de l’alimentation – Université de Laval – Québec – 2021
Nombreuses sont les études à ce jour qui nous apportent la preuve qu’il existe un lien étroit entre notre alimentation et notre capital immunitaire.
En effet, et de part la période que nous traversons, nous savons tous aujourd’hui le rôle crucial que joue notre statut en vitamine D dans notre réaction au virus SARS-COV2 . . . et à bien d’autres virus bien sûr !
D’autres micronutriments sont fréquemment déficitaires ou déséquilibrés dans notre population et ces carences ou déséquilibres joueraient un rôle évident également : il serait sans doute judicieux de réfléchir en ce sens.
- Evaluer ces déficits ?
- Les combler ?
- Par l’assiette ?
- Par la complémentation ?
Plus surprenant encore, certains de ces déficits pourraient rendre les virus plus pathogènes encore ! ! !
- Et notre écosystème intestinal avec son système immunitaire ?
- Ne devrait-on pas le chouchouter encore plus ?
- Notre assiette n’est elle pas la clé de sa bonne santé ?
Nos muqueuses (intestinales, nasales, oculaires, etc . . . ) produisent des anticorps pour se protéger contre les « envahisseurs ». Mais cette protection peut être mise à mal par nos stress chroniques ou récurrents…
Et si nos déficits et déséquilibres micro-nutritionnels, notre stress mal géré intervenaient sur notre réponse à ces « envahisseurs » ?
Pour citer Jean-Michel Lecerf – chef du service nutrition – Institut Pasteur de Lille – Mai 2021 : »« Bien sûr, la nutrition ne fait pas tout ! Mais elle joue un rôle beaucoup plus important qu’on ne l’imagine… Pourquoi ne pas intégrer l’alimentation dans les mesures barrières ? »
Et si pour finir, en optimisant tous ces paramètres, notre réponse immunitaire à la vaccination s’en trouvait améliorée ?